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 Comment télécharger un ebook ?

5/7/2012

 
Vous êtes séduit par le livre numérique mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour y avoir accès ? Rien de très grave, Primento vous a concocté un petit mémento pour vous guider dans votre premier achat… 7 étapes pour télécharger son livre numérique:

1) Se rendre sur une librairie en ligne
Connectez-vous sur la plateforme d’une librairie en ligne (ex.: ePagine, iBook store, Amazon, Fnac, Feedbooks et beaucoup d’autres) ou sur des sites d’éditeurs proposant un service d’e-commerce sur leur site internet (ex.: LePetitLittéraire.fr) que ce soit via votre ordinateur ou votre support de lecture (tablette, liseuse ou smartphone).

2) Choisir son livre
Lancez la recherche du/des ouvrage(s) que vous désirez vous procurer, dans l’espace prévu à cet effet ou découvrez les sélections qu’ont préparées les libraires pour vous.

3) Consulter les informations
Une fois sur la page du livre désiré, nous vous conseillons de vous attarder sur les informations qui décrivent l’article en vente.

Le prix. Vous constaterez que le plus souvent, les prix des ebooks sont inférieurs à ceux du format papier, mais ce n’est pas tout le temps le cas.

Les formats disponibles: le PDF est idéal pour une lecture sur ordinateur, mais est également lisible sur les autres supports numériques ; L’ePub est, quant à lui, est lisible sur liseuse, tablette ou encore smartphone. Si les deux formats sont disponibles, il est préférable de télécharger le format ePub afin de multiplier les possibilités de supports de lecture. En ce qui concerne le format mobi, il n’est lisible que sur le Kindle d’Amazon.

Les protections, apposées sur les contenus, peuvent également varier selon les éditeurs. Certains optent pour le DRM (Digital Rights Management) qui agit tel un verrou numérique et associe un fichier à un unique support d’une personne. D’autres préfèrent la technique du filigrane (watermarking) qui consiste à signer certaines pages de fichiers téléchargés en inscrivant le nom et le numéro d’identification de l’acheteur ainsi que la date de la transaction.

Comme dans une librairie traditionnelle, feuilletez les ouvrages ou consultez un extrait de ceux-ci. N’hésitez pas non plus à lire les commentaires laissés par les autres lecteurs.

4) Sélectionner votre commande
Après avoir pris connaissance des contenus, sélectionnez, parmi l’offre en ligne, le(s) livre(s) numérique(s) qui vous intéresse(nt) et ajoutez-le(s) à votre panier d’achat.

5) S’identifier et payer
Créez un compte utilisateur, si vous n’en possédez pas déjà un, ensuite, connectez-vous pour enfin procéder au paiement bancaire en ligne (PayPal, MasterCard, Visa …).

6) Télécharger le fichier
Une fois l’achat facturé, vous recevrez dans les plus brefs délais un lien de téléchargement pour chacun des ebooks achetés. Cliquez, téléchargez et enregistrez les fichiers sur votre ordinateur ou votre support de lecture.

7) Lire
N’attendez plus, vous pouvez désormais commencer votre lecture digitale !

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S.M.

 

Le Prix du livre numérique, le cas du PetitLittéraire.fr

4/12/2012

 
Le prix du livre numérique est un débat récurrent sur la Toile. Pas plus tard qu’en janvier dernier, Jiminy Panoz se faisait reprocher par un lecteur insatisfait d’oser commercialiser un livre de 28 pages au prix d’1,99 euros. Il y a peu c’était au tour de la République des Lettres de raviver la polémique.

Au centre de ce débat, deux éléments reviennent de manière significative : une analyse du ratio nombre de pages/prix peu pertinente et une remise en cause de la qualité du livre. Il est pourtant évident que, de manière plus générale, des questions primordiales sous-tendent ce débat : qu’est-ce qu’un livre numérique et quelles sont ses limites ?

Le blogueur Aldus titrait l’un de ses articles « 5792 signes, c’est un livre » – notez l’ironie. À partir de quand un livre numérique peut-il être considéré comme tel ? Difficile à dire, même si la question se pose déjà aux États-Unis où certains contenus sont assimilés à du spam et éjectés des catalogues.

Plus globalement, fixer le prix d’un livre numérique n’est pas aisé. Non seulement parce que l’éditeur peut s’attendre à un retour de flamme si le prix ne correspond pas aux attentes du public. On l’a vu à maintes reprises ; des lecteurs surpris par la faible qualité d’un ebook n’ont pas hésité à crier au scandale. Il faut dès lors tenir compte des seuils psychologiques. Un prix excessivement bas ne rassurera pas le lecteur dans sa démarche d’achat, car il remettra en cause la qualité de l’ebook. A contrario, un prix trop élevé risque de décevoir les attentes formulées par le lecteur. Déterminé dans une optique axée sur les consommateurs, le prix d’un ebook devra paraitre accessible aux lecteurs même si cela implique qu’il doit se situer dans certains cas en-dessous du cout de revient.

Chez Primento, nous éditons différentes sortes de contenus, mais tous nos livres répondent à des exigences de qualité bien précises. Tous font l’objet d’un travail éditorial conséquent aussi bien au niveau du fond (orthographe, contenu, etc.) qu’au niveau de la forme et des formats. Notre équipe éditoriale procède à de nombreuses vérifications pour garantir au lecteur un confort de lecture quel que ce soit le format et le support qu’il choisisse.

De manière plus large, nous pensons que la comparaison entre le nombre de pages d’un ebook et son prix ne tient pas la route lorsqu’on parle de contenus éducatifs. Par exemple, dans le cas de la collection lePetitLittéraire.fr, nous éditons des livres qui totalisent une dizaine de pages, mais répondent à un besoin très précis et font gagner un temps précieux à nos lecteurs, qu’il s’agisse de professeurs qui préparent leurs cours, ou d’élèves qui révisent pour le bac de français. Si l’on analyse le rapport service rendu – prix d’une analyse, il est évident que le lecteur est largement gagnant. Dans le cas d’un professeur qui prépare un cours, une de nos fiches de lecture (dont le cout représente €3,95) lui fera facilement gagner plusieurs heures. Pour ce qui est d’un lycéen qui prépare son bac, le même raisonnement peut-être tenu… et puis €3.95, c’est quasiment le prix d’une bière, non ?

À nos yeux, le plus important est que le lecteur soit conscient de ce qu’il achète et des raisons de son acte. C’est pour cette raison que sur notre site internet, nous faisons preuve d’une totale transparence. Non seulement, nous indiquons très clairement la nature du livre (fiche de lecture, commentaire ou questionnaire) mais en plus de cela, nous affichons systématiquement le nombre de pages du document à côté de son prix. Les lecteurs peuvent également consulter un extrait de chaque contenu dans lequel figure un sommaire et les pages qui y sont associées. Nos livres numériques correspondent parfaitement à la description présente sur notre site ainsi que sur les sites de nos partenaires commerciaux. De quoi faire en sorte que nos lecteurs restent maitres de leurs achats.

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S.M.

Réaction des éditeurs à l’article « La mort annoncée de l’éditeur classique » paru dans le MoneyTalk

3/22/2012

 
En réponse à la publication de l’article « La mort annoncée de l’éditeur classique » paru en page 16 du MoneyTalk n°48 du 23 février 2012, l’ADEB (Association des Éditeurs Belges) par le biais de sa commission numérique, qui regroupe les principaux acteurs belges actifs dans ce domaine, souhaite apporter des précisions sur certains points.
Dans son article, Mathias Nuttin présente en effet le livre numérique comme une « révolution », qui bouleversera « le business model classique, dans lequel l’éditeur détient le contrôle – et les meilleures marges », et l’amènera à s’ouvrir aux auteurs qui désirent publier eux-mêmes leurs oeuvres sur le marché. Il poursuit en précisant « les gardiens de la qualité littéraire ne seront plus les éditeurs, mais les auteurs et les lecteurs eux-mêmes ». Ce qui signifierait la disparition des éditeurs et le remplacement du canal classique par « un canal direct entre auteurs et lecteurs ».

La commission numérique de l’ADEB s’étonne de cette vision. Tout d’abord, parce qu’il convient de préciser que les éditeurs belges francophones sont plus que conscients de la révolution numérique et n’ont pas le sentiment de voir s’effondrer leur univers. Au contraire, l’ADEB a mis en place une commission et des mesures qui accompagnent les acteurs de la chaine du livre dans cette mutation des métiers.

Par ailleurs, l’analyse de l’état du marché américain où environ 18% des ventes concernent des livres numériques (et non 6% comme l’indique l’article « Les nouveaux acteurs », paru dans le MoneyTalk 48, en page 18), démontre que d’une part, les éditeurs classiques coexistent très bien avec le numérique et que leur rôle n’est nullement remis en question, avec seulement 5% des ventes totales de livres numériques s’effectuant de manière autoéditée. Ces chiffres publiés fin janvier 2012, dans la récente étude du Cabinet de consultance « AT Kearney », une des nombreuses études sur le sujet, confirment l’envolée des ventes d’ebooks aux États-Unis et en Angleterre, mais également le fait que le marché reste très marginal en Europe avec moins d’1% des ventes totales. Nous nous attendons néanmoins à ce que l’édition numérique cohabite avec l’édition papier.

Par ailleurs, la comparaison graphique du business model d’un éditeur classique avec celui d’Amazon semble incomplète puisqu’elle fait abstraction de plusieurs éléments :

  • La différence en matière de traitement de la TVA n’est pas reflétée (6% sur un livre papier, contre 21% pour un ebook vendu depuis la Belgique).
  • Dans le cadre d’un projet d’édition papier, en fonction du profil de l’auteur et de la thématique abordée, les royalties fluctuent entre 5 et 15%.
  • La part du diffuseur et du distributeur mentionnée à 30% est en réalité de 50, voire 60%.*
Au vu de ces précisions, la situation finale de l’éditeur (avec environ 30% de la marge), est totalement différente, d’autant plus que cette marge doit lui permettre de couvrir non seulement le travail éditorial, mais aussi les frais de mise en page, d’impression et de marketing.

De manière plus globale, par rapport à l’autoédition qui est présentée comme une menace importante pour les éditeurs classiques, nous estimons surtout qu’elle représente une vraie opportunité pour des auteurs qui ne s’inscrivent pas, ou ne veulent pas s’inscrire, dans les filières traditionnelles. Néanmoins, il est important de ne pas perdre de vue, tant pour le livre papier ou numérique, la valeur ajoutée de l’éditeur dans son travail depuis la réception d’un manuscrit jusqu’à sa mise à disposition et qui implique entre autres la vérification du texte, sa structuration et sa mise en page. Plus important encore, la marge de l’éditeur sert également, et surtout, à financer la création : de nombreux auteurs en littérature, livre de jeunesse et BD bénéficient d’avance, parfois confortables.

Pour la commission numérique de l’ADEB :
Thibault LEONARD
Luca VENANZI

* Ces chiffres sont bien entendu adaptables en fonction des secteurs éditoriaux.

Stéphane Hessel ou la force de l’indignation

3/6/2012

 
Nous avons dernièrement eu l’occasion d’assister à une interview de celui qui est considéré comme l’inspirateur des nombreux mouvements d’« indignés » : Stéphane Hessel. Écrivain, diplomate et militant politique français né en 1925 à Berlin, celui-ci a lutté toute sa vie pour défendre la « dignité » humaine, qu’il considère comme notre bien le plus précieux. Loin d’en avoir encore fini, le nonagénaire poursuit ses combats, appelant plus que jamais tous les hommes à « s’indigner, s’engager et espérer ». Se prêtant au jeu des questions-réponses du journaliste Edmond Blattchen, plus qu’une part de son parcours, c’est une part de lui-même qu’il nous a livrée…

Un « créateur de monde »

« Mon vœu pour les générations futures, commence Stéphane Hessel, c’est de faire mieux avec les ressources finies de la terre. » Concrètement, ce qu’il propose, c’est d’installer des milliers de petites fermes et de potagers dans toutes les villes… Utopique ? Non ! Aujourd’hui, nous sommes sept milliards d’hommes sur terre et les ressources manquent déjà, constate-t-il. Il n’y a pas d’autre choix possible : les générations futures vont devoir apprendre la « sobriété ». Mais pas seulement ! Il leur faudra aussi inventer un monde nouveau, radicalement différent, « un monde de la solidarité et de l’interdépendance » : le mot est lancé !

« Nous sommes une  société mondiale et les problèmes que nous connaissons sont mondiaux. Nous devons donc nous sentir interdépendants et vivre les problèmes en solidarité. Nous avons besoin les uns des autres », explique le diplomate, qui insiste sur une valeur capitale, la générosité : « Ce n’est pas seulement quelque chose de moralement bon, mais c’est aussi quelque chose de psychologiquement utile, car quelqu’un qui fait du bien devient plus fort. »

Un militant pacifiste
Un des premiers motifs d’indignation pour Stéphane Hessel, c’est le contraste entre les pauvres et les riches : « Il est honteux, dit-il, que des gens meurent encore de faim à l’heure actuelle. » Le coupable ? L’économie néo-libérale. Les gouvernements sont opprimés par les forces économiques et financières. Dans un tel contexte, les mouvements de contestation sont « la substance du monde actuel », mais la question cruciale est de savoir si la police va parvenir à réprimer les indignés ou si cette indignation aboutira à un réel changement… En tout cas, ce qui est certain, aux yeux de Stéphane Hessel, c’est que « les cris ne suffisent pas » : « Pour réellement changer les choses, les indignés doivent prendre le chemin des institutions. »

Une question brule les lèvres du journaliste : « Jusqu’où peut aller l’indignation ? Faut-il accepter la violence ? » Non, le nonagénaire réprouve tout acte violent ou terroriste. Et d’ajouter que les gens comme lui sont dangereux, car en appelant à l’indignation, il y a le risque que ça aille trop loin… Son objectif avec Indignez-vous ! n’était pas d’appeler au terrorisme, mais de montrer qu’il existe des valeurs qu’il faut à tout prix défendre. En tête, la dignité de l’être humain : « Il faut s’indigner pour préserver sa dignité. » Dans cet esprit seulement, l’indignation est « constructive et légitime ».

Mais, de tous les motifs d’indignation que nous offre le monde, il ne faut pas conclure que tout va mal. Au contraire, « il y a beaucoup de choses qui vont bien, qui sont porteuses d’espoir… »

Un poète « mystique »
Derrière cet espoir teinté d’idéalisme, on devine que Stéphane Hessel n’est pas seulement un militant politique. Et de fait, il nous le confesse : il est aussi poète… Pour lui, la poésie, c’est un héritage maternel. Depuis tout petit, il s’est efforcé de retenir des poèmes entiers par cœur : «  Un poème n’existe que quand il est récité. Il devient alors une prière, un contact avec quelque chose qui n’est pas la vie matérielle », explique-t-il. Mêlant étroitement poésie et mysticisme, Stéphane Hessel nous confie sa vision toute personnelle de Dieu : « Le mot Dieu est extraordinaire, lourd de sens et aussi lourd de mystère, ce qui signifie qu’il faut l’explorer. Il ne nous appartient pas, mais nous lui appartenons. Nous devons entretenir une relation de respect, d’esprit et de poésie avec Dieu. De poésie, parce que la poésie est ce qu’il y a de plus proche du divin et ce qui permet d’accéder à quelque chose d’autre que la vie matérielle. » Et de conclure sur quelques vers de Baudelaire… qui le font encore apparaitre sous un autre jour : Stéphane Hessel se révèle également être un véritable « show man » !

Retrouvez toutes les analyses des titres de Stéphane Hessel sur lePetitLittéraire.fr


S.F.

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