Pourriez-nous présenter votre maison en quelques mots et nous dire ce qui vous plait le plus dans votre activité d'éditeur ?
J’ai créé la maison en 1999 avec les collections « Histoire & société » et « Le français en héritage ». Puis, des auteurs m’ont présenté des manuscrits de polars et de thrillers. J’étais hésitant au début, car je connaissais mal le lectorat de ces genres littéraires. En revanche, j’ai été intéressé par le travail éditorial sur ces textes.
J’ai commencé l’édition pour son aspect éditorial et technique : j’avais une bonne culture typographique et une bonne connaissance de la composition. Avec le travail éditorial, ce sont les aspects que je trouve les plus attrayants. Mais les Editions Glyphe se développant, je dois aujourd'hui passer plus de temps à la diffusion des ouvrages.
Comment perceviez-vous le numérique avant de commencer votre collaboration avec Primento ?
Avant la collaboration avec Primento, les Editions Glyphe ont publié quelques livres numériques sur Amazon. La diffusion par Primento nous a permis d’enclencher la vitesse supérieure en nous donnant accès à d’autres plateformes de diffusion et en nous apportant une meilleure réactivité (mise en place des nouveaux titres, changements de prix…). Nous apprécions particulièrement la rapidité des prises de décision ainsi que la rigueur de Primento.
Que représente aujourd’hui le numérique pour votre maison d’édition ?
Nous nous sommes lancés dans le numérique par curiosité et nous avons été surpris des résultats : aujourd’hui, nos ventes d’ebooks représentent des revenus inattendus. Il s’agit réellement d’une nouvelle activité, avec des modes de production et de diffusion différents du papier. Cela apporte une nouvelle dynamique à notre métier.
Nous nous sommes lancés dans le numérique par curiosité et nous avons été surpris des résultats : aujourd’hui, nos ventes d’ebooks représentent des revenus inattendus. Il s’agit réellement d’une nouvelle activité, avec des modes de production et de diffusion différents du papier. Cela apporte une nouvelle dynamique à notre métier.
Certains de vos auteurs fonctionnent très bien en numérique, notamment Louis Raffin et Olivier Kourilsky. Ce succès a-t-il changé leur manière de travailler ou les a-t-il encouragés dans leur carrière d'écrivain ?
Les succès de Louis Raffin et Olivier Kourilsky a bien sûr motivé les auteurs, leur offrant une diffusion complémentaire à celle de l’édition papier. De notre côté, nous sommes poussés à continuer avec eux.