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Mardaga en numérique: 40 premiers titres disponibles

12/3/2013

 
Les Éditions Mardaga diversifient leur offre numérique en publiant une première sélection de titres au format ebook. Ce projet réalisé avec Primento, le partenaire numérique des éditeurs, marque une nouvelle étape dans la stratégie de Mardaga pour rendre ses livres disponibles à un plus large public.

Des livres plus accesibles
Les lecteurs peuvent donc dès maintenant retrouver les titres-phares des collections de psychologie et de santé de l'éditeur au format ebook. Ces livres de référence seront désormais accessibles aux praticiens, aux chercheurs, aux étudiants et plus généralement, à l’ensemble des lecteurs, en permanence et partout dans le monde depuis les principales librairies en ligne.

Pour des lecteurs nomades
Avec ce partenariat, les éditions Mardaga entendent répondre aux nouvelles habitudes de leur lectorat. « Nous réfléchissons depuis longtemps au potentiel numérique de nos livres, explique Clotilde Guislain, directrice des éditions Mardaga. Dans un premier temps, nous avions privilégié un partenariat avec le CAIRN qui a numérisé nos ouvrages. Ce service permet aux étudiants, à des universités ou à des institutions d'accéder à des chapitres de nos ouvrages depuis un ordinateur. Nous sommes très satisfaits de cette offre, mais elle ne répond pas aux besoins de l'ensemble de notre lectorat. Aujourd'hui les lecteurs sont de plus en plus nomades, il faut suivre cette évolution et leur offrir nos livres adaptés à ces nouveaux supports de lecture que sont les tablettes et les liseuses. »

Une diffusion élargie
Le numérique représente également une opportunité incroyable d'élargir la distribution des titres. « Comme nous visons souvent un public de niche, nos livres ne sont pas disponibles dans toutes les librairies. Le numérique est un moyen de remédier à cela, poursuit la directrice de la maison d'édition. Avec ces sorties numériques, nous élargissons considérablement notre réseau de distribution avec des librairies comme Google Play, Amazon ou le réseau Numilog mais également des librairies numériques dédiées à des publics plus scientifiques comme Ebrary.

Nouveautés et titres du fond
Et l'éditeur ne compte pas en rester là : « Dans la foulée, nous avons numérisé les premiers titres de notre nouvelle collection Santé en soi qui donne au lecteur un outil pour comprendre les enjeux de notre santé sur des questions telles que l’euthanasie,  la maladie d'Alzheimer ou les enfants difficiles. à l'avenir, la version numérique sera envisagée pour chaque nouveauté en fonction de sa diffusion potentielle évaluée avec Primento. Il n'est en effet pas toujours aisé d'appréhender ce nouveau marché tellement différent de la chaine traditionnelle ; Primento est là pour nous aider. Nous faisons également de la numérisation de notre fonds une priorité. »

En partenariat avec Mardaga
« Il est très important pour nous de travailler avec des acteurs de référence dans leur domaine comme Mardaga, rajoute Thibault Léonard, directeur et fondateur de Primento. Nous avons confiance dans leur savoir-faire et leurs choix éditoriaux. Pour Primento, proposer un catalogue d’ebooks le plus diversifié est aussi une façon de comprendre l’évolution des pratiques des différents lectorats. Le numérique se révèle donc un enjeu passionnant pour un éditeur de la taille de Mardaga. »

Comment se procurer ces ebooks?

 Les 40 premiers titres issus de cette collaboration sont déjà disponibles à la vente sur toutes les librairies en ligne comme Amazon, Apple, Kobo, Google Fnac, les librairies traditionnelles connectées au réseau ePagine et Numilog à un prix inférieur de 30% aux versions imprimées.

Jeter un coup d’œil au catalogue Mardaga sur:

  • Amazon
  • Numilog
  • Kobo
  • Apple Itunes

ReLIRE : la BNF face aux critiques

4/5/2013

 
Article mis à jour le 11 avril

Le 21 mars dernier, la Bibliothèque nationale de France (BNF) a mis en ligne le registre ReLIRE qui propose des œuvres littéraires et des ouvrages de sciences humaines indisponibles dans le commerce ou en version numérique. Loin de faire l'unanimité, ReLIRE a essuyé ces derniers mois une pluie de critiques. Le Salon du Livre de Paris était l'occasion aux responsables de préciser leur projet.

Mais d'abord, ReLIRE, c'est quoi exactement ? Petit rappel des faits : ReLIRE est un projet qui se propose de republier, numériquement, les œuvres indisponibles du XXe siècle pour leur redonner vie, après avoir fait l’objet d’une publication dans un registre. Les œuvres sur ReLIRE sont exploitées par une société de gestion collective impliquant les auteurs (via la Sofia) et les éditeurs. Sur papier, il s’agit donc d’un beau projet. Seulement voilà, en lieu et place d'applaudissements, c'est un tollé général qui a accueilli la toute récente publication du registre. Il faut dire qu'il y a de quoi s'interroger et réagir notamment sur l'irrespect du droit d'auteur, les nombreuses erreurs présentes dans le registre, et un recours fastidieux pour exercer un droit de retrait.

Pour son opération com', la BNF a vu les choses en grand. Pour être exhaustive et n'oublier personne, la BNF a invité à la tribune toutes les parties prenantes au débat : Jean-Claude Bologne (président de la Société des gens de lettres), François Coupry (président de la Société Française des Intérêts des Auteurs de l’écrit), Alban Cerisier (secrétaire général des Éditions Gallimard et président général de la commission numérique du Syndicat national des éditeurs), Nicolas Georges (directeur adjoint, chargé du livre et de la lecture, à la Direction générale des médias et des industries culturelles), Christophe Caron (avocat spécialiste de la propriété intellectuelle) et Arnaud Beaufort (directeur général adjoint de la Bibliothèque nationale de France).
Juristes, auteurs, éditeurs, et représentants du gouvernement : il ne manquait personne !

L'évolution juridique et technique du droit d'auteur
Les auteurs tirent à boulets rouges sur la loi du 1er mars 2012 (loi relative à l’exploitation numérique des œuvres indisponibles du XXe siècle). Cette loi a confié à la Bibliothèque nationale de France "la responsabilité de créer et de maintenir une base de données publique en ligne, en accès libre et gratuit, qui répertorie les livres indisponibles du XXe siècle". La BNF, via le projet ReLIRE, peut donc numériser des œuvres hors circuit et confier leur exploitation à une société de cogestion.

Pourquoi s'insurger ? Parce que si la base de données reprenant ces titres est publique en ligne et accès libre et gratuit, le fond numérisé ne le sera pas. Les éditions numériques des ouvrages compris dans la liste ReLIRE, dont la numérisation aura été financée par l'argent public, continueront à être vendues. Les auteurs et leurs éditeurs recevront par ailleurs un pourcentage des ventes.

Si cette loi a été conçue comme une exception au droit d'auteur français, elle est en contradiction avec le Code de la propriété intellectuelle (certains affirment même qu’elle est inconstitutionnelle !) puisqu'elle implique que, si l'auteur et son éditeur n'exercent pas leur droit de retrait sur une œuvre (via la procédure d'Opt-out que certains jugent fastidieuse) dans les six mois prévus par la loi, celle-ci sera numérisée et son exploitation sera confiée à la société de cogestion. Les auteurs se sentent par conséquent privés de la propriété intellectuelle qu’ils possèdent sur leur production. Mais ce qu’ils reprochent surtout à la loi c’est de céder aux éditeurs les droits numériques d’une œuvre – qui l’a pourtant rendue indisponible, sans laisser la possibilité aux auteurs de négocier d’avenants à leur contrat ou de garder leurs droits.

Nicolas Georges (directeur général des médias et des industries culturelles) l'admet : "Nous avons été vers un assouplissement du droit d'auteur exclusif." Christophe Caron (juriste spécialiste de la propriété intellectuelle) rappelle même que "la loi sur les œuvres indisponibles du XXe siècle a été votée à l'unanimité. C'est plutôt rare au sujet des droits d'auteurs. C'est même réjouissant, c'est la preuve que le droit d'auteur sait évoluer avec les techniques."

Un registre qui rappelle un projet de Google...
Un autre reproche fait à la BNF touche au principe même de ReLIRE. Il rappelle étrangement un projet lancé par Google dans le courant des années 2010 qui visait à publier en version numérique le patrimoine littéraire mondial, faisant fi des ayants droit. Un an plus tard, Google avait été condamné pour ces numérisations systématiques. Mais n'est-ce pas ce que tente de faire l'État avec ReLIRE ? Ce qui est illégal pour Google serait légal pour la BNF ? Pas tout à fait.
Nicolas Georges nuance : "Le juge qui a condamné Google en 2011 avait reconnu l'utilité du numérique dans la diffusion et le partage des œuvres. Il faut tout de même accepter que l'action de Google servait l'intérêt commun. Mais ce n'est pas à une société privée de légiférer sur un point aussi sensible. Il fallait agir dans le sens montré par Google, avec l'accord de toutes les parties. D'où l'idée de la société de cogestion rassemblant auteurs et éditeurs."

Au fond, en analysant les différents propos, on se rend compte que ce n'est pas tant le projet de la BNF qui est décrié, mais plutôt sa méthode.
C'est en effet l'arbitraire de la procédure qui semble coincer. Mais avec 60 000 références dans le registre, le travail promettait d'être fastidieux. "ReLIRE va responsabiliser les auteurs à propos de leurs œuvres. Ils devront, avec leurs éditeurs, choisir s'ils restent dans la gestion collective ou s'ils réexploitent eux-mêmes le livre. Car, en dehors de la campagne de communication, rien n’est prévu pour prévenir personnellement les auteurs ou les éditeurs dont les œuvres ont été inscrites dans le registre. Une période de 6 mois peut apparaitre bien courte pour réagir.

Fautes avouées …
Et qu’en est-il de tous ces livres qui se sont retrouvés par erreur dans le registre et qui n'ont rien à y faire ? Arnaud Beaufort (directeur adjoint de la BNF) tente de s’expliquer : "Cette base est comme la BNF : humaine. Au fil du temps, nous retirerons les ouvrages qui sont passés à travers les mailles du filet. ReLIRE et son amélioration nécessite le concours de tous et la bienveillance." En tous cas, les auteurs et les éditeurs n’auront qu’une période de 6 mois pour réagir.

Si les méthodes de mise en place de ReLIRE peuvent sembler cavalières à certains, l'idée se voulait bonne et le défi colossal. Il semblerait toutefois que les conséquences du projet soient bien plus complexes que prévu.

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M.B.

Réaction des éditeurs à l’article « La mort annoncée de l’éditeur classique » paru dans le MoneyTalk

3/22/2012

 
En réponse à la publication de l’article « La mort annoncée de l’éditeur classique » paru en page 16 du MoneyTalk n°48 du 23 février 2012, l’ADEB (Association des Éditeurs Belges) par le biais de sa commission numérique, qui regroupe les principaux acteurs belges actifs dans ce domaine, souhaite apporter des précisions sur certains points.
Dans son article, Mathias Nuttin présente en effet le livre numérique comme une « révolution », qui bouleversera « le business model classique, dans lequel l’éditeur détient le contrôle – et les meilleures marges », et l’amènera à s’ouvrir aux auteurs qui désirent publier eux-mêmes leurs oeuvres sur le marché. Il poursuit en précisant « les gardiens de la qualité littéraire ne seront plus les éditeurs, mais les auteurs et les lecteurs eux-mêmes ». Ce qui signifierait la disparition des éditeurs et le remplacement du canal classique par « un canal direct entre auteurs et lecteurs ».

La commission numérique de l’ADEB s’étonne de cette vision. Tout d’abord, parce qu’il convient de préciser que les éditeurs belges francophones sont plus que conscients de la révolution numérique et n’ont pas le sentiment de voir s’effondrer leur univers. Au contraire, l’ADEB a mis en place une commission et des mesures qui accompagnent les acteurs de la chaine du livre dans cette mutation des métiers.

Par ailleurs, l’analyse de l’état du marché américain où environ 18% des ventes concernent des livres numériques (et non 6% comme l’indique l’article « Les nouveaux acteurs », paru dans le MoneyTalk 48, en page 18), démontre que d’une part, les éditeurs classiques coexistent très bien avec le numérique et que leur rôle n’est nullement remis en question, avec seulement 5% des ventes totales de livres numériques s’effectuant de manière autoéditée. Ces chiffres publiés fin janvier 2012, dans la récente étude du Cabinet de consultance « AT Kearney », une des nombreuses études sur le sujet, confirment l’envolée des ventes d’ebooks aux États-Unis et en Angleterre, mais également le fait que le marché reste très marginal en Europe avec moins d’1% des ventes totales. Nous nous attendons néanmoins à ce que l’édition numérique cohabite avec l’édition papier.

Par ailleurs, la comparaison graphique du business model d’un éditeur classique avec celui d’Amazon semble incomplète puisqu’elle fait abstraction de plusieurs éléments :

  • La différence en matière de traitement de la TVA n’est pas reflétée (6% sur un livre papier, contre 21% pour un ebook vendu depuis la Belgique).
  • Dans le cadre d’un projet d’édition papier, en fonction du profil de l’auteur et de la thématique abordée, les royalties fluctuent entre 5 et 15%.
  • La part du diffuseur et du distributeur mentionnée à 30% est en réalité de 50, voire 60%.*
Au vu de ces précisions, la situation finale de l’éditeur (avec environ 30% de la marge), est totalement différente, d’autant plus que cette marge doit lui permettre de couvrir non seulement le travail éditorial, mais aussi les frais de mise en page, d’impression et de marketing.

De manière plus globale, par rapport à l’autoédition qui est présentée comme une menace importante pour les éditeurs classiques, nous estimons surtout qu’elle représente une vraie opportunité pour des auteurs qui ne s’inscrivent pas, ou ne veulent pas s’inscrire, dans les filières traditionnelles. Néanmoins, il est important de ne pas perdre de vue, tant pour le livre papier ou numérique, la valeur ajoutée de l’éditeur dans son travail depuis la réception d’un manuscrit jusqu’à sa mise à disposition et qui implique entre autres la vérification du texte, sa structuration et sa mise en page. Plus important encore, la marge de l’éditeur sert également, et surtout, à financer la création : de nombreux auteurs en littérature, livre de jeunesse et BD bénéficient d’avance, parfois confortables.

Pour la commission numérique de l’ADEB :
Thibault LEONARD
Luca VENANZI

* Ces chiffres sont bien entendu adaptables en fonction des secteurs éditoriaux.

    Auteurs

    Thibault LEONARD
    Jonathan FALLON
    Gaëlle NOESON

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