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Thibault Léonard, fondateur et CEO de Primento, donnera une formation sur la distribution et la diffusion d’ebooks en France et en Belgique

2/14/2014

 
Rendez-vous le mercredi 12 mars, de 09h30 à 13h30, à Tournai pour une nouvelle formation du PILEn ouverte à tous les professionnels de la chaîne du livre. En collaboration avec le Centre régional des lettres et du livre du Nord-Pas-de-Calais, l'Association des éditeurs du Nord-Pas-de-Calais et la Plaine Images, le PILEn propose au public belge et français une formation animée par Chantal Lambrechts, consultante en communication, marketing et stratégie numérique, et Thibault Léonard, fondateur et CEO de Primento, le partenaire numérique des éditeurs.

La matinée sera concrètement consacrée aux spécificités de la diffusion et de la distribution du livre numérique, en France et en Belgique. Cette formation s'adresse donc en priorité aux professionnels qui ont suivi le module "panorama de l'édition numérique" ou sont impliquées dans un projet d'édition de livre numérique et souhaitent mieux comprendre comment fonctionne cet écosystème.

Même si la participation à cette matinée reste gratuite, il est en tout cas vivement conseillé de vous inscrire très rapidement. Attention, le PILEn exige aux personnes qui s’y inscrivent de s’engager à y participer, sauf cas de force majeure. Toute absence non dûment justifiée sera facturée 100 € par journée.

Pour s’inscrire ou demander un renseignement, merci de prendre contact avec Morgane Batoz-Herges, formations@futursdulivre.be, +32 2 290 08 07.

A noter : les institutions ou entreprises ne peuvent inscrire qu’un seul participant par module.

Lettres numériques : Primento reconduit dans sa mission pour 2014 et 2015

2/7/2014

 
Impliqué depuis 2012 dans le projet Lettres numériques soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles, Primento s'est vu confier le développement du média pour les deux prochaines années.

En quatre ans d'existence, Lettres numériques est devenu un média de référence pour suivre l'actualité numérique du livre. Chaque mois, il informe plusieurs milliers de professionnels du livre, toutes professions confondues : auteurs, éditeurs, libraires,
bibliothécaires, prestataires de services, lecteurs, étudiants, diffuseurs, et bien d'autres.

Dès ce vendredi 7 février, Lettres numériques, le blog de l'actualité numérique du livre, sera de retour
pour une série de 35 numéros annuels.  L'équipe sera composée de Björn-Olav Dozo, rédacteur en chef, et de Vincianne D'Anna, Sibylle Greindl et des membres de Primento pour la rédaction tandis que Sonia Lefebvre assurera la coordination avec le Service général des Lettres et du livre.

Inscrivez-vous à la newsletter de Lettres numériques


Les éditeurs louperaient-ils le coche du numérique ?

11/19/2013

 
Primento, le partenaire numérique des éditeurs, dévoile aujourd’hui les résultats d’une étude menée auprès des professionnels de l’édition lors de la dernière Foire internationale du Livre de Francfort. Bien que Primento constate une réelle conscientisation au développement de l’e-book, les résultats indiquent que de nombreux acteurs n’ont pas encore intégré cette perspective digitale dans leur stratégie ou leur approche métier.

Alors que toutes les études confirment un changement rapide des usages et des habitudes des lecteurs, Primento s’est penché sur la manière dont les professionnels de l’édition se positionnent par rapport à ce changement de paradigme. Les mutations orchestrées par le passage au numérique ne sont en effet pas sans conséquences; elles demandent une adaptation de l’ensemble de la chaîne du livre, du travail avec les auteurs sur les manuscrits à la distribution des livres digitaux. Réalisée auprès de 535 professionnels du livre, l’enquête révèle des résultats étonnants.

Bien que les livres numériques remportent un succès de taille auprès du grand public, que ce soit en Europe ou aux États-Unis, il est surprenant de constater que 60% des professionnels du livre ne lisent jamais sur supports digitaux ! La situation s’accentue si les professionnels francophones seuls sont considérés, puisque 70% d’entre eux ne lisent jamais de livres numériques. Seuls 3% des professionnels indiquent par ailleurs avoir abandonné la lecture papier au profit du digital ; un taux qui passe à un peu plus de 1% pour les francophones. Les supports de lecture privilégiés par ces convaincus du numérique sont, à part égale, les tablettes et liseuses.

D’après Thibault Léonard, spécialiste du numérique et fondateur de Primento, le distributeur numérique de nombreux éditeurs belges, cette situation est révélatrice d’un malaise dans le secteur de l’édition : « il est en effet frappant de constater à quel point les éditeurs sont réfractaires au changement et semblent ne pas se sentir concernés par la lecture numérique. D’un point de vue stratégique, cette position est risquée car elle creuse l’écart entre l’éditeur et le lecteur, dont les usages et habitudes ne peuvent être compris et dès lors pris en compte ».

À la question de savoir comment ils se représentent le numérique, 96% des sondés le perçoivent positivement et comme un phénomène durable. Parmi ceux-ci, 81% pensent que le livre numérique cohabitera avec le livre papier, alors que 15% estiment qu’il s’y substituera, une opinion qui semble légèrement moins prégnante parmi les professionnels européens.

Étrangement, les éditeurs pensent que ce sont les secteurs de l’éducation et de l’édition professionnelle qui parviendront le mieux à tirer profit de la révolution numérique d’ici à fin 2015. « Les éditeurs sont néanmoins trop optimistes concernant l’éducation, ce domaine étant largement sous-financé et très conservateur lorsqu’il s’agit d’embrasser un changement », commente Mr. Léonard « Cet énorme chantier prendra ainsi encore de longues années si les pouvoirs publics n’en font pas une priorité ».

Quant à savoir si la maison d’édition qu’ils représentent est bien préparée pour saisir les opportunités du numérique, 85,6% des éditeurs se montrent confiants. Un taux qui chute cependant à 73% si l’on ne tient compte que des éditeurs français travaillant pour des maisons d’édition de langue française.

« De façon générale, l’étude prouve donc que les éditeurs se sentent peu concernés par le numérique et ne s’impliquent que trop peu dans cette mutation de l’industrie du livre », déclare Mr. Léonard.  Si leurs forces vives ne lisent pas et ne pensent pas ‘en numérique’, les maisons d’édition ne peuvent saisir les opportunités de développement commercial et intellectuel qu’a à offrir ce secteur. » Primento ajoute également « il ne suffit pas de changer les processus pour réussir à ce niveau, il faut également que les mentalités évoluent ».

« Les éditeurs observent de nouveaux entrants se positionner dans leur industrie sans s’inquiéter, les livres numériques n’étant pas perçus comme une évolution du métier d’édition, mais bien comme le déploiement d’une profession parallèle par les éditeurs eux-mêmes. Il est vrai que les compétences requises impliquent une autre manière de penser la chaîne du livre, mais si les éditeurs refusent de prendre en compte cette évolution, ils risquent de perdre leur place privilégiée et de voir leur industrie se réorganiser sans eux, comme ce fut le cas dans d’autres domaines par le passé », explique le fondateur de Primento.

Les récentes mutations qu’a connues le secteur du livre semblent donner raison au spécialiste du numérique puisque 2013 aura connu son lot de bouleversements avec notamment l’intégration de Flammarion par Gallimard ainsi que la mise sous concordat de DDB et des éditions du Rocher.

Les résultats de l'enquête sont disponibles à la demande

Aides à la numérisation pour les éditeurs belges / Fonds d'Aide à l'édition

9/20/2013

 
Comme attendu depuis quelques mois, le Fonds d'Aide à l'Edition qui dépend de la Ministre de la Culture, Mme Fadila Laanan, a lancé des aides à destination des éditeurs afin de les soutenir dans leur transition numérique. En tant que spécialiste du numérique Primento accompagne les éditeurs dans leurs projets.numériques, de A à Z.

Attention que cette aide ne concerne que pour les éditeurs professionnels belges.

Les aides numériques sont les suivantes :

1. Une expertise technique qui finance une mission d’expertise pour : la conception, la définition, l’élaboration, la critique d’un projet d’édition numérique jusque dans ses modalités techniques. La subvention ne dépassera pas 80% des frais d’expertise et le montant maximal de 2.400 €. Thibault Léonard est reconnu comme expert par la Fédération Wallonie-Bruxelles.

2. Des subventions pour l’exploitation numérique de contenus éditoriaux qui couvrent les dépenses techniques de réalisation de la publication numérique. Le montant maximal d'intervention est de 20.000 €.

3. Des subventions pour des développements numériques (plateforme, cross-média…) porteurs de contenus éditoriaux. Il s'agit ici de projets dui développent des recherches ou des solutions partagées par plusieurs opérateurs.

Les prochaines dates limites de rentrée des demandes sont les suivantes :
- le vendredi 18 octobre 2013,
- le vendredi 13 décembre 2013,
- le vendredi 31 janvier 2014,
- le mercredi 30 avril 2014,
- le jeudi 31 juillet 2014,
- le vendredi 31 octobre 2014

==> Primento accompagne les éditeurs dans leur demande d'aide à la numérisation. Contactez Primento pour un rendez-vous.

L'opposition entre la culture du livre avec celle des écrans va s'atténuer

3/27/2013

 
Les dixièmes assises du livre numérique, dont la première édition remonte à juin 2008, se sont déroulées hier, lors de l'ouverture au public du Salon du Livre 2013 au Palais des Sports, situé Porte de Versailles.

"Nous ne sommes pas encore à l'humanisme numérique" : c'est par ces mots que Vincent Montagne, président du SNE (Syndicat National de l'Édition et principal organisateur de la journée), a ouvert cette nouvelle édition des assises du numérique. C'est pour nous l'occasion de rappeler les grands thèmes de cette édition : la mutualisation des connaissances, l'ouverture du dialogue, la collaboration interprofessionnelle et surtout l'ouverture à l'international. Ce dernier point est particulièrement révolutionnaire. En effet, personne n'avait jusqu'alors pensé à supprimer les frontières grâce au numérique. C'est aujourd'hui chose faite et il n'est pas trop tard pour s'y mettre.

Tout en taclant délicatement Amazon et ses ambitions monopolistiques, Vincent Montagne a tenu à rappeler "qu'à l'heure du numérique, le métier d'éditeur reste indispensable dans l'accompagnement de l'auteur et dans le déploiement du livre". Une remarque qui dénote encore la crainte de nombreux éditeurs papier de voir leur métier s'évaporer dans les limbes du numérique.

L'évolution cognitive de la lectureLa première conférence de ces assises était dédiée à l'impact cognitif du passage du monde du livre au monde des écrans. Sur la scène du numérique du Salon du Livre, Alban Cerisier, secrétaire général des éditions Gallimard et président de la commission numérique du SNE, en a discuté avec Stanislas Dehaene, normalien et docteur en psychologie, et Pierre Léna, normalien lui aussi et élu à l'Académie des sciences. Par ailleurs, celle-ci vient de publier un rapport sur la relation des enfants aux écrans (L'enfant et les écrans écrit par Jean-François Bach, Serge Tisseron, Olivier Houdé et Pierre Léna, publié aux éditions Le Pommier).

Il ressort de ce rapport qu'il est actuellement "possible d'opposer deux cultures : celle des livres et celles des écrans". Cette rupture est à la fois "culturelle, cognitive et psychologique".

Le numérique, au sens large (internet, jeux vidéo, gps, etc.) avec cette interactivité et cette interconnectivité de plus en plus poussée, modifie profondément notre rapport à la lecture et notre rapport à l'image. Alors qu'auparavant, la lecture était essentiellement verticale, aujourd'hui, avec l'arrivée du lien hypertexte et du multimédia, elle devient horizontale. C'est la tentation du papillonnage accompagnée du  risque de se demander : "comment suis-je arrivé là ?"

Stanislas Dehaene affirme alors que le livre papier et sa logique de lecture peut grandement favoriser une immersion plus importante sur les supports numériques : "l'intelligence narrative qui nous permet de créer une chronologie, une feuille de route, est indispensable dans notre relation à ces nouveaux écrans qui ont tendance à nous disperser."

Par conséquent, les logiques de lecture sur papier seront, selon lui, capitales dans le développement du numérique et dans l'appréhension de leur contenu.

C'est pour cette raison qu'on considère que l'opposition entre la culture du livre et la culture des écrans va s'atténuer dans le futur.Comme le rappelle très justement Pierre Léna : "Actuellement, les livres numériques ressemblent fort aux livres papier, dans leur logique cognitive et dans la présentation de leur contenu. Mais il y a fort à parier que bientôt, ils intègreront de plus en plus les possibilités multimédias. Le traitement du contenu du livre numérique va intégrer celui qu'on réserve encore à internet, aux jeux vidéo, au gps, etc."

Nous pouvons ainsi conclure au terme de cette première conférence que, si le rapport cognitif de l'acte de lire évolue dans le monde des écrans, la logique de lecture du livre papier constituera une formidable aide pour saisir les opportunités offertes par le futur du livre numérique.

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M.B.

Le livre au péril du numérique ?

3/23/2013

 
Même si le livre numérique conquiert progressivement de nombreux lecteurs, il ne convainc pas pour autant les professionnels de la chaine du livre qui le perçoivent souvent comme une menace voire un mal nécessaire.
Pourquoi les éditeurs et les libraires redoutent-ils le développement du livre numérique ? Au-delà de l’attachement au papier et son odeur, quels sont les changements apportés par le livre numérique ? Que remet-il en question ? Quelques éléments ont été soulevés lors d’une conférence donnée au dernier Salon du Livre, sobrement intitulée « Le livre au péril du numérique ».

Le point de vue d’un éditeur

Le livre numérique est souvent évoqué comme un véritable changement de paradigme qui remet en question la notion de propriété d’un livre, le rapport à la lecture, le texte et le statut de l’auteur. Toutes ces questions affectent le travail de l’éditeur, bien obligé de faire face à cette nouvelle réalité.

Le numérique peut-il se concevoir comme une opportunité ? Certainement pour le fond notamment, grâce à l’effet dit de la « longue traine ». Le numérique permet en effet de proposer aux lecteurs l’ensemble des catalogues de lecteurs et pas seulement les nouveautés. Mais inutile de se presser, le marché n’est pas encore là clament les éditeurs. Un représentant des éditions Privat explique qu’en ce qui concerne sa maison d’édition, sur un chiffre d’affaires de 1,7 million d’euros, le livre numérique ne représente que 1500 euros de revenus. A ses yeux, le numérique n’a encore aucun sens en France à l’heure actuelle, d’un point de vue financier.

Au-delà des revenus, sur le plan intellectuel, c’est la redistribution des cartes qui inquiète. Le couple « auteur-éditeur » est extrêmement riche pour la littérature et se retrouve à présent menacé par les alternatives nées du web : autoédition, crowdfunding, etc. Si intéressants soient-ils, ces phénomènes de désintermédiation obligent à repenser les relations entre chaque acteur et la plus-value de chacun surtout si l’on envisage le numérique comme une potentielle première édition d’un texte.

Le point de vue d’un libraire
Dans un contexte professionnel difficile, la librairie redoute que le développement du livre numérique ne se fasse sans elle. La dématérialisation du livre et l’achat de livre sur internet ont déjà profondément mis à mal le travail du libraire. Mais il n’est pas le seul. L’augmentation de l’offre de loisirs affecte également cette profession, car ce n’est pas le panier moyen qui baisse, c’est la désaffectation de la clientèle, le plus inquiétant.

Les libraires du monde entier dénoncent la croissance et l’influence d’Amazon qui a répondu à des besoins non assouvis jusque-là.  Mais les algorithmes d’Amazon ont leurs limites et ne peuvent remplacer les conseils d’un libraire qui connait son public. Le livre a un aspect social, on le voit bien dans le web qui favorise la constitution de communautés autour de la lecture.

Le livre numérique n’est donc pas le nœud du problème, mais c’est un défi de plus pour les libraires déjà en mauvaise posture. Car au-delà de la librairie, c’est le commerce de proximité qui est menacé. Le libraire conseille les gens, les écoute, leur soumet des lectures  inattendues et anime les centres-ville. Alors que se passerait-il s’il venait à disparaitre ? Le libraire participant à la conférence « Le livre au péril du numérique » conclut le débat de la manière suivante : « la France ressemble de plus en plus à une succession de rondpoints avec des supermarchés en bordure d'autoroute, c'est notre responsabilité, mais aussi la vôtre de défendre le commerce indépendant. Il faut 10 ans pour faire un bon libraire et ce libraire s'engage pour vous. Ne l’oubliez pas. »

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S.M.

 Comment télécharger un ebook ?

5/7/2012

 
Vous êtes séduit par le livre numérique mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour y avoir accès ? Rien de très grave, Primento vous a concocté un petit mémento pour vous guider dans votre premier achat… 7 étapes pour télécharger son livre numérique:

1) Se rendre sur une librairie en ligne
Connectez-vous sur la plateforme d’une librairie en ligne (ex.: ePagine, iBook store, Amazon, Fnac, Feedbooks et beaucoup d’autres) ou sur des sites d’éditeurs proposant un service d’e-commerce sur leur site internet (ex.: LePetitLittéraire.fr) que ce soit via votre ordinateur ou votre support de lecture (tablette, liseuse ou smartphone).

2) Choisir son livre
Lancez la recherche du/des ouvrage(s) que vous désirez vous procurer, dans l’espace prévu à cet effet ou découvrez les sélections qu’ont préparées les libraires pour vous.

3) Consulter les informations
Une fois sur la page du livre désiré, nous vous conseillons de vous attarder sur les informations qui décrivent l’article en vente.

Le prix. Vous constaterez que le plus souvent, les prix des ebooks sont inférieurs à ceux du format papier, mais ce n’est pas tout le temps le cas.

Les formats disponibles: le PDF est idéal pour une lecture sur ordinateur, mais est également lisible sur les autres supports numériques ; L’ePub est, quant à lui, est lisible sur liseuse, tablette ou encore smartphone. Si les deux formats sont disponibles, il est préférable de télécharger le format ePub afin de multiplier les possibilités de supports de lecture. En ce qui concerne le format mobi, il n’est lisible que sur le Kindle d’Amazon.

Les protections, apposées sur les contenus, peuvent également varier selon les éditeurs. Certains optent pour le DRM (Digital Rights Management) qui agit tel un verrou numérique et associe un fichier à un unique support d’une personne. D’autres préfèrent la technique du filigrane (watermarking) qui consiste à signer certaines pages de fichiers téléchargés en inscrivant le nom et le numéro d’identification de l’acheteur ainsi que la date de la transaction.

Comme dans une librairie traditionnelle, feuilletez les ouvrages ou consultez un extrait de ceux-ci. N’hésitez pas non plus à lire les commentaires laissés par les autres lecteurs.

4) Sélectionner votre commande
Après avoir pris connaissance des contenus, sélectionnez, parmi l’offre en ligne, le(s) livre(s) numérique(s) qui vous intéresse(nt) et ajoutez-le(s) à votre panier d’achat.

5) S’identifier et payer
Créez un compte utilisateur, si vous n’en possédez pas déjà un, ensuite, connectez-vous pour enfin procéder au paiement bancaire en ligne (PayPal, MasterCard, Visa …).

6) Télécharger le fichier
Une fois l’achat facturé, vous recevrez dans les plus brefs délais un lien de téléchargement pour chacun des ebooks achetés. Cliquez, téléchargez et enregistrez les fichiers sur votre ordinateur ou votre support de lecture.

7) Lire
N’attendez plus, vous pouvez désormais commencer votre lecture digitale !

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S.M.

 

Numérique et école : ce qu’en pensent les parents et les enseignants

4/5/2012

 
Le Syndicat national de l’édition et le Savoir Livre, le groupement des éditeurs scolaires, ont récemment publié un communiqué de presse relayant une enquête menée par Opinion Way sur les équipements pédagogiques en usage dans les écoles primaires.

Il ressort de cette étude que l’instauration d’un cartable essentiel de livres (papier et numérique) suscite des réactions positives aussi bien auprès des parents, des enseignants que des autorités locales (en l’occurrence les maires). Celui-ci doterait les élèves du primaire d’un équipement de 4 à 6 ressources pédagogiques indispensables et conformes aux programmes en vigueur. Appelés à exprimer notamment leurs points de vue sur les ressources numériques, les parents et les enseignants estiment que les ressources numériques sont devenues nécéssaires dans les classes en complémentarité des livres papiers. On retiendra les informations suivantes:

1° Les enseignants et les professeurs estiment qu’un tel équipement en ressources numériques permettrait de :
- garantir à tous les élèves un accès égal aux nouvelles technologies.
- rendre l’enseignement plus interactif
- réduire la fracture numérique 
- accélérer les mises à jour des enseignements
- adapter la pédagogie au niveau des enfants.

2° Des attentes distinctes, mais compatibles

Pour les parents, le numérique permettra non seulement de soulager le poids des cartables mais également de varier les approches pédagogiques et d’améliorer le lien entre l’école et le foyer.

Les enseignants en revanche attendent du numérique qu’il offre à chaque élève une égalité d’accès aux nouvelles technologies et un enseignement plus interactifs. Ils se prononcent d’ailleurs majoritairement en faveur des manuels numériques plus que des serious games.

3° La majorité des personnes sondées entrevoient une complémentarité dynamique entre les supports papier et numériques.
En conclusion, on constate un intérêt de plus en plus marqué pour les ressources numériques non seulement plébiscitées par les enseignants, mais aussi par les parents d’élèves. Il est fort à penser que de tels outils pédagogiques permettront en effet d’instaurer un véritable changement dans l’enseignement actuel grâce à des cours plus adaptés aux élèves, une formation quotidienne aux nouvelles technologies et une nouvelle pédagogie plus interactive.

Le communiqué de presse et les résultats de l’étude peuvent être consultés ici.

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S.M.

Le pari formidable d’un ex-PDG devenu prof

11/8/2011

 
Primento Editions a récemment rencontré Pierre Pirrad, lors d’une conférence sur son parcours et son livre, Vous n’êtes pas des élèves de merde, paru aux Éditions de l’Arbre. Un ouvrage profond et stimulant, dans lequel ce chef d’entreprise reconverti en « jeune prof » à plus de quarante ans exprime sa vision du monde de l’enseignement. L’occasion idéale pour nous d’échanger quelques idées et de lui demander son sentiment notamment sur « l’école numérique ».

Une conversion étonnante
Pour ceux qui ne connaissent pas Pierre Pirrard, en quelques mots, c’est un chef d’entreprise qui, après avoir passé vingt ans dans des multinationales, a eu envie d’un changement de vie. Et on peut dire que ce changement a été radical… Le déclencheur ? Un film, Out of Africa, qui lui a fait prendre conscience qu’il avait lui aussi la possibilité de vivre plusieurs vies en une. Dès lors, fini les hôtels de luxe et les voyages autour du monde, le voilà dans une salle de classe à Molenbeek, à Bruxelles. Une seule question, pendue à toutes les lèvres : a-t-il perdu la tête ?

Lorsqu’on l’écoute, on s’aperçoit vite qu’il est bien sensé, et surtout, on est touché par son enthousiasme, sa générosité et sa détermination. Ses motivations sont nombreuses mais, dit-il, « j’avais surtout envie de me retrouver dans l’inconfort d’un début de carrière professionnelle ». À cela il ajoute le désir de partager son expérience et de « créer à partir d’un autre type de capital, un capital humain, et non plus financier ».

Mais rapidement, Pierre Pirrard se rend compte que ces profs qui se plaignent sans cesse n’ont pas tout à fait tort… La liste des problèmes qu’il pointe du doigt est longue : le métier n’est pas valorisé, respecté, ni même reconnu ; les jeunes enseignants sont désespérément livrés à eux-mêmes ; les inégalités entre élèves sont énormes…

L’éducation, un beau combat
Loin de baisser les bras, il s’implique corps et âme dans sa nouvelle fonction, parce que, confie-t-il, « c’est vrai que c’est aussi le plus beau métier du monde ». Après avoir résisté à sa première année de prof, il décide d’écrire un livre sur son expérience, pour évoquer les plaisirs du métier, mais aussi pour dénoncer : « Personne n’ose parler des vrais problèmes de l’enseignement, j’en avais marre des positions politiquement correctes, alors j’ai voulu dire tout haut ma propre vision, car il est grand temps que certaines choses changent si on ne veut pas d’une révolution ! Puis c’est important de s’impliquer dans quelque chose et je me dis que l’éducation, c’est tout de même un beau combat !»

Si certains le qualifieront de prétentieux (« après un an de carrière, quand même… »), on est forcé de reconnaitre la pertinence de ses observations.  D’autant qu’il ne se contente pas d’établir des constats : il propose aussi des solutions, dont certaines sont assez innovantes.

Notamment, une des pistes pour améliorer la qualité de l’enseignement, selon lui, c’est de faire davantage de ponts entre le milieu de l’entreprise et l’école. Ainsi, il préconise, pour le businessman, un « service éducatif » obligatoire qui consisterait à ouvrir son entreprise à des stagiaires, ou même à consacrer un an de sa vie à l’enseignement. Reste à voir si tous seront de son avis… De même, à l’enseignant, il recommande de faire des « stages en entreprise » de manière à être plus apte à apprendre la « vie » à ses élèves car, ajoute-t-il, « de nombreux profs ne connaissent pas grand-chose d’autre que leur vie de prof - sans vouloir les vexer ! »

Mais à ses yeux, le défi majeur de l’enseignement, c’est d’instaurer une mixité socioculturelle dans les écoles, de manière à remédier aux inégalités. « La Belgique est le pays européen le plus inégalitaire en matière d’éducation », affirme-t-il, statistiques à l’appui. À ceux qui craignent le nouveau, l’étranger, le différent, il réplique : « Nos traditions ne peuvent que s’enrichir du brassage culturel, et il ne faut pas craindre de les voir évoluer. Ce qui est important, ce sont nos valeurs, et elles, elles sont immuables et on a tous les mêmes… »

Oui au numérique à l’école !
À propos de l’intégration du numérique à l’école, Pierre Pirrard ne mâche pas ses mots : « Mille fois oui ! », s’exclame-t-il. Et d’ajouter, sur le ton de l’humour : « Mais je préfère d’abord que le carreau de ma classe soit réparé, car l’hiver il fait froid ! »

Ayant visité une école aux États-Unis dans laquelle toutes les classes étaient équipées de smartboard, il déplore de ne pas même avoir de tableau correct dans sa classe et de devoir batailler ne serait-ce que pour installer le wifi dans l’établissement… « Dans ce domaine, nous sommes face à une inertie totale », regrette-t-il. Et pourtant, selon lui, c’est une priorité d’éduquer les jeunes à la manipulation de l’informatique : la majorité des élèves sont constamment connectés, mais beaucoup sont incapables de faire une recherche dans Google…

Cela dit, s’il est primordial d’« éduquer » au numérique, Pierre Pirrard estime qu’il n’est pas moins important de « se servir » du numérique, notamment pour remédier à certaines « absurdités » propres à l’enseignement belge, comme l’absence de manuels scolaires par exemple…. « Le programme est le même pour tous, mais chaque prof invente son propre cours. On a donc 15000 cours différents pour une même matière, c’est totalement aberrant, et cela nuit à la qualité de l’enseignement, car il est évident que tous les cours ne sont pas aussi bons les uns que les autres ! Les manuels numériques seraient donc une solution idéale. », explique-t-il. Et de conclure : « Quand j’aurai mon smartboard, j’utiliserai vos manuels numériques. C’est l’avenir ! »

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S.F.

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    Jonathan FALLON
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